L’Espagne est une destination privilégiée pour les investissements immobiliers depuis plusieurs années. Les habitants de nombreux pays d’Europe et du Proche-Orient (en particulier l’Iran) choisissent l’Espagne pour y investir. Le principal attrait de ce pays est son climat favorable, ses habitants sympathiques, ses paysages à couper le souffle, son mélange de cultures exotiques, sa riche gastronomie, sa situation géographique idéale et ses politiques d’investissement sûres. Toutefois, il a fallu des efforts considérables aux tribunaux et aux avocats pour que l’Espagne sécurise les investissements.
Auparavant, les investisseurs étaient manipulés par les banquiers. Les banques espagnoles ont pleinement profité des préférences en matière d’immobilier en facilitant l’achat et la vente de logements et en facilitant l’accès aux prêts hypothécaires. Depuis le début de l’année 2000, les banques ont abusé de leurs pouvoirs en incluant certaines clauses permettant à leurs clients de gagner de l’argent. Ces clauses sont tellement sophistiquées qu’elles sont difficiles à identifier et à défendre, même par des spécialistes de la législation des contrats. Cependant, depuis 2015, les tribunaux sont intervenus et ont tenté de mettre fin à ces pratiques obscures. Cette intervention a également profité aux clients plus âgés qui ont été initialement floués de montants obscurs. Les tribunaux ont mandaté toutes les banques pour qu’elles restituent l’argent non autorisé aux acheteurs.
En résumé, tous les investisseurs immobiliers qui ont investi dans des biens immobiliers jusqu’en 2015 peuvent faire valoir leurs droits sur leur argent dans trois grandes catégories.
a. Clause foncière : Cette clause prévoit le prélèvement d’intérêts fixes sur les intérêts variables de votre hypothèque. Le tribunal a rendu obligatoire le retrait de cette clause à partir de 2015 et a demandé aux banques de restituer aux clients l’argent injustement surfacturé.
b. Clause d’échéance anticipée des prêts : Le processus d’hypothèque constitue certaines dépenses. Auparavant, les banques prélevaient ces frais (y compris les frais de notaire, les droits d’enregistrement et de timbre) sur les acquéreurs. Toutefois, après 2015, le tribunal a demandé aux banques de rembourser ces frais aux acheteurs.
c. Le pire et heureusement le moins fréquent : Récemment, une affaire liée à l’investissement immobilier a été mise en lumière. Après avoir omis de payer plusieurs des mensualités, l’entité, sous couvert d’une clause de résiliation anticipée, a demandé le paiement de la totalité du capital (plus les intérêts ordinaires et les intérêts de retard), ainsi que des frais et dépenses et la vente aux enchères du bien hypothéqué. Personne ne voulait de la maison, si bien qu’elle a finalement été attribuée à Banco Primus elle-même. C’est un exemple de cas très fréquent au plus fort de la crise.
Le pays le plus sûr pour l’investissement immobilier
Ainsi, on peut enfin dire que ce type de décisions fait de l’Espagne le pays le plus sûr pour investir dans l’immobilier. La richesse des ressources naturelles et les valeurs géostratégiques, combinées aux efforts constants des tribunaux pour rendre les lois favorables aux acheteurs, font de l’Espagne un havre de paix pour les investissements immobiliers. Auparavant, les méthodes les plus courantes pour tromper les clients étaient les concepts a et b. Cependant, dans ces cas également, vous pouvez facilement, en tant qu’acheteur, récupérer une créance de 10 000 euros. Raul Del Canto déclare que cette créance n’est pas un don mais un droit inhérent et fait partie du site residenship.com. C’est pourquoi il vous guidera volontiers dans votre démarche et vous aidera à faire de son pays un havre de paix pour l’immobilier.